Une présentation qui sort de l’ordinaire

Jusqu’à présent, les quelques présentations que j’ai eu l’occasion de faire se limitaient à de simples powerpoints. Mais si ce mode de présentation fonctionne relativement bien avec de la mise en page d’idées, le parcours de schéma n’est pas indiqué. En fait, il est peut-être possible de s’en sortir, mais je n’en sais pas plus à ce sujet.

Ce qui m’intéresse beaucoup plus, ce sont les possibilités de faire des présentations dynamiques et originales avec des outils libres bien sûr. J’ai donc découvert Impress.js qui semble être un moyen intéressant quoiqu’un peu technique de créer une présentation. Néanmoins, ayant besoin de créer un schéma, j’ai préféré laissé cette solution de côté pour me tourner vers Inkscape.

Pourquoi Inkscape me direz-vous. Eh bien, l’idée d’utiliser ce logiciel libre pour réaliser ma présentation me vient de René Méroux avec qui j’ai pu discuter  lors des éditions 2011 et 2012 des RMLL. Dans la présentation qu’il a effectué concernant sa carte du logiciel libre, René présentait en effet la version 6-alpha. C’est là que j’ai découvert la possibilité de faire une présentation en utilisant Inkscape. Cette version de la carte donne d’ailleurs un bon aperçu de ce qu’il est possible de faire. Vous trouverez la carte dans un grand nombre de langues sur le serveur suivant: http://es.gnu.org/~reneme/fsmap/ .

Revenons donc à Inkscape. Pour réaliser la présentation, il est nécessaire d’ajouter une extension appelée Sozi. On réalise donc en premier lieu son schéma, sa présentation avec les outils d’Inkscape, en appréciant bien la puissance du dessin vectoriel qui permet de redimensionner facilement tous les objets graphiques. Une fois cette étape terminée, nous allons dessiner un rectangle correspondant à la première image, le premier slide de notre présentation. Il suffit ensuite d’aller dans le menu Extensions puis Sozi. Lorsque la fenêtre de Sozi s’ouvre, cliquer sur Créer, l’élément SVG sélectionné correspond au rectangle qui vient d’être créer. Modifier les options à votre goût puis valider. Il suffit ensuite de créer un nouveau rectangle pour délimiter votre deuxième image, refaire la procédure via Sozi et ainsi de suite jusqu’à ce que vous soyez satisfait. Pour visualiser sa création, il suffit d’enregistrer son travail et d’ouvrir le fichier avec un navigateur récent, Firefox faisant très bien l’affaire. La navigation s’effectue au choix avec la souris ou via les flèches droite et gauche du clavier.

Voilà donc un moyen de créer une présentation originale en bénéficiant de la puissance du dessin vectoriel, mais qui nécessite un peu plus de temps pour prendre en main le logiciel. L’installation de Sozi est très bien décrite sur le site de l’extension et ne devrait pas poser de problème. Une expérience intéressante donc, qui donne envie d’utiliser plus souvent Inkscape, avec à la clé un résultat concluant.

Le fond de cet exemple tiré du site de Sozi étant transparent, l’animation n’est pas très visible sur ce fond gris, mais reste lisible.

[Vidéo] Azureus Rising

Magnifique court-métrage mettant en scène un mystérieux guerrier dans un univers de science-fiction. Ce proof-of-concept de 2010 a été récompensé à de nombreuses reprises et devait/devrait servir de base pour la création d’un film et d’un jeu vidéo « de nouvelle génération ».

Découvrez Azureus Rising:

Lien vers « Azureus Rising – Proof of Concept Teaser Trailer »

Mocha: path to mocha.opts with -f

Mocha is a wonderful (:D) test framework which allows you to write really understandable tests in JavaScript. I’ve already introduced it in a previous article, so today I’ll focus on a pull request I’ve proposed.

Like other programs, you can pass arguments to mocha, like for instance –reporter used to specified a way to display test results. By the way, you should try once the nyan reporter. Concerning mocha, it’s also possible to set arguments in a file named « mocha.opts ». Interesting feature, but the file must absolutely be stored in your test directory.

So the idea is to add an argument: -f, –fileconf <path>. Furthermore, the –fileconf option allows you to specify the configuration file that will be used, by default “/test/mocha.opts”; allowing you to store your configuration file anywhere you wanted. This modification is very useful if you make tests using the same configuration file in many directories. Without –fileconf, you have to copy your file in each directory, and even a small modification must be done on each file. Using -f, you store the mocha.opts file in a unique place, so that any modifications of the file would immediatly impact all tests.

About the code

Add the parameter with commander:

.option('-f,--config <path>','specify the path to configuration file')

Load the file using commander to parse the command line:

//-f, --config
program.parse(process.argv);
var pathConf = 'test/mocha.opts';
if (program.config && exists(program.config)) {
  pathConf = program.config;
}
try {
  var opts = fs.readFileSync(pathConf, 'utf8')
    .trim()
    .split(/\s+/);

  process.argv = process.argv
    .slice(0, 2)
    .concat(opts.concat(process.argv.slice(2)));
} catch (err) {
  // ignore
}

In fact, this code is not available in mocha yet since « parsing twice might have some strange side-effects »…

An other way to augment argv without using commander:

//-f, --config

var pathConf = 'test/mocha.opts'
  , fIndex = process.argv.indexOf('-f')
  , configIndex = process.argv.indexOf('--config');

if(fIndex !== -1 && exists(process.argv[fIndex + 1]) ) {
  pathConf = process.argv[fIndex + 1];
}

if(configIndex !== -1 && exists(process.argv[configIndex + 1]) ) {
  pathConf = process.argv[configIndex + 1];
}

And I’ll finished this article by quoting visionmedia:

Maybe it’s ok but that’s still pretty hacky.

[Vidéo] The League of Steam

Tout le monde connaît les célèbres Gosthbusters, dotés d’un matériel de pointe dans une Amérique moderne. Il est donc temps de changer d’époque, d’espace temps même, puisque les vidéos de The League of Steam se situe dans « l’époque » SteamPunk. Cette confrérie de chasseur de fantômes et autres manifestations surnaturelles dispose néanmoins de nombreux appareils divers et variés. Il ne recule devant rien… ou presque.

The League of Steam a terminé sa deuxième « saison » de vidéo et une troisième série est d’ores et déjà prévue. Les dialogues sont bien sûr en anglais, mais cela n’empêche en rien de suivre avec plaisir les mésaventures du groupe. Les différents épisodes peuvent pour la plupart être visionnés indépendamment les uns des autres. Le mieux reste de les prendre dans l’ordre chronologique de diffusion.

Voici l’un de mes épisodes préférés de la saison 1.
Direction l’Irlande avec ses créatures fantastiques, et sa musique.

Lien vers «  »Fool’s Gold » – Adventures of the League of STEAM »

Node-Elastical: Delete by query option

What is Elastical?

Elastical is a Node.js client library for the ElasticSearch REST API.

That’s it for the presentation.

Until a few weeks ago, it wasn’t possible to delete data by query without using a hack. The hack was the following:

client.delete('twitter', 'tweet', '', {q: 'user:Shay'} );

Here, we set id to an empty string and we use the options parameter to perform a search on user with value Shay. Not so practical at all.

Using curl to interact with ElasticSearch, it is possible to delete by query:

curl -XDELETE 'http://localhost:9200/twitter/tweet/_query' -d ' 
  { "term" : { "user" : "kimchy" } 
}
'

This handy way of deleting things in ElasticSearch was not possible with Elastical (unless, you managed to use the hack above).

So I’ve added a new parameter options.query which allow us to perform such a query more easily.

client.delete('twitter', 'tweet', '', {query:
  { "term" : { "user" : "kimchy" } } 
});

When using the query parameter, id and all other options except ignoreMissing will be ignored.

Let’s take a quick look at the code involved:

if(params.query) {
  url = '/' + encode(this.name) + '/' + encode(type) + '/_query';

  this.client._request(url, {method: 'DELETE', json: params.query}
  , function (err, res) {
    if (err) {
      if (ignoreMissing && res && res.found === false) {
        return callback(null, res), undefined;
      } else {
        return callback(err, res), undefined;
      }
    }
    callback(null, res);
  });
} else {

It’s pretty simple. First, we need to build the url, then we’re requesting ElasticSearch on the given url, passing the query in the json parameter. If options.query doesn’t exist, then the original code is used.

As a conclusion, delete by query is now available in Elastical and you should use it!

 

ElasticSearch: Delete By Query API