À la Découverte du Microgame (Minijeu) Lego de Unity

Il y a quelques semaines j’ai reçu dans ma boite mail un récapitulatif des nouveautés de Unity en cette fin d’année 2020, une de ces nouveautés c’était la mise à disposition d’un minijeu Lego dans Unity !

J’ai été un peu surpris de l’annonce au début mais j’ai appris peu après que cette initiative célébrait les 25 ans depuis la sortie du premier jeu vidéo Lego : Lego Fun To Build sortie en 1995.

A la simple lecture du mail envoyé par Unity on est loin d’imaginer le potentiel qui se cache derrière ce que l’on appelle un microgame comme le microgame Lego. J’imaginais quelques briques à assembler, quelques actions pré-codée et un environnement limité mais au contraire de ce que je prévoyais Lego et Unity ont très bien fait les choses.

Pour mieux vous présentez ce que vous pourrez créer dans Unity je vous ai réalisé une petite vidéo qui vous fera découvrir le minijeu Lego

Vous découvrirez notamment que le catalogue de brique Lego importable dans Unity et impressionnant et que la création de prefabs supplémentaires pourra être fait dans un logiciel dédié « Studio 2.0 » et ensuite ajouté à votre propre jeu, vous pourrez même vous appuyez sur le catalogue de modèles du site Bricklinck pour étoffer votre propre jeu !

J’espère que cette découverte vous plaira et vous occupera autant que moi, en plus de vous apprendre les rudiments de l’utilisation du moteur de jeu Unity.

Vérification des DNS

Récemment dans mon quotidien de développeur, je me suis retrouvé confronté à la question de la validité de la zone DNS, ou, pour le formuler plus simplement, à la question : comment vérifier le contenu d’une zone DNS ?

J’avais en effet transmis des informations à un tiers pour la configuration de la zone DNS d’un domaine, mais après vérification capture d’écran à l’appui : rien à faire. La validation du domaine restait en erreur du côté de Firebase. Et comme parfois avec Google, aucune information de débogage. Seul un laconique « Impossible de valider le domaine » est présent dans l’interface.

N’ayant pas accès aux interfaces de gestion du domaine, j’ai donc cherché à consulter le contenu de la zone DNS d’une autre manière et je me suis donc tourné vers nslookup. Avec en particulier les commandes telles que :

nslookup <domaine>
nslookup -type=txt <domaine>
nslookup -type=cname <domaine>

L’exécution de ces commandes, avec quelques variations pour vérifier différents sous-domaines, m’a permis de constater que les entrées configurées ne figurent pas dans la zone DNS, bien que présent dans l’interface. Je postule donc que la nouvelle zone DNS est sauvegardée, mais non publiée. Les vérifications sont en cours pour vérifier cette hypothèse. Si ce n’est pas le cas, la recherche continuera, et j’aurais au moins découvert un outil bien pratique, faute d’avoir trouvé l’élément bloquant.

Calvaire de la résiliation chez Orange

Quand un système informatique n’est pas au point ça m’énerve. D’autant plus quand c’est un grand groupe de télécommunication qui pense mal ses processus.

Dans un premier temps vous devez trouver le chemin vers la première étape de résiliation. Ce n’est pas chose facile mais en même temps, ça se comprend. Il ne faut pas rendre la vie facile à ceux qui veulent se désabonner de vos services.

Une fois que vous avez trouvé ce lien, vous arrivez enfin sur une page qui vous parle. On vous explique en toute simplicité le processus de résiliation. Ça a l’air carré, bien pensé, on est sous le charme. On a presque plus envie de partir…

Puis se suivent les encarts qui ne correspondent pas à votre cas mais que vous vous devez de lire pour être sûr de ne rien faire de travers. Jusqu’à ce que vous arriviez en bas de page à nouveau.

Je suis dans un « autre cas de résiliation », sympathique encore faut il être sûr que je ne suis pas dans un « autre motif légitime » comme il est indiqué dans l’encart au-dessus.

Bon je clique quand même pour ouvrir cet énième encart.

Félicitation à l’ergonome. On cache des boutons par des boutons. On évite par la même occasion que les petits malins puissent utiliser la fonction de recherche dans la page pour trouver l’information qu’ils recherchent. En plus on voit un nouveau bouton à cliquer ! Super, moi qui n’avait plus jouer au labyrinthe depuis longtemps, je suis servi.

Vous cliquez pour être rappelé et là c’est le retour aux années 2000. Chez Orange quand vous avez un forfait mobile et un forfait internet et que vous voulez résiliez on ne sait pas vous proposer vos numéros sur lequel vous appeler, ni les lignes qui pourraient être concernées…

Remarqué aussi qu’ici la seule chose qu’on vous sépcifie c’est que le premier champ est obligatoire. On est samedi et je suis motivé, malgré une pointe d’énervement que je sens venir. Je saisie donc mon numéro de portable et mon numéro de ligne concerné.

J’appuie sur suivant. Quelques secondes mon portable sonne. J’attends 3 secondes avant de décrocher. Une voix robotique me signifie « Au revoir et à bientôt chez Orange » et après 10 secondes et un petit jingle, ça raccroche à l’autre bout de la ligne.

Je suis bluffé ! Ok, ils ne savent pas proposer des informations automatiquement et l’ergonomie est un peu douteuse mais un appel de 15 secondes pour résilier ça laisse rêveur.

Maintenant j’attends que ma demande soit confirmée par mail et SMS comme écrit dans leur encart « Résilier en 4 étapes » (d’ailleurs je n’ai pas forcément saisie un mail ou un numéro de téléphone qui peut recevoir un SMS).

J’attends jusqu’au mardi suivant. Soit 4 jours. Quand je décide de retenter l’opération. Rebelote pour toutes les étapes ci-dessus. Mais cette fois je n’indique pas mon numéro de ligne.

Une femme décroche (ou un robot très bien entrainé, allez savoir). Je lui explique mon problème du samedi. Qu’elle feint de ne pas comprendre. Suis je le seul à me faire avoir ? Rien n’est moins sûr. Elle me demande mon numéro de ligne qui enfaite n’est pas le numéro de téléphone associé au contrat mais un numéro choisi arbitrairement par Orange et que vous retrouvez à quelques endroits (quand ça veut bien charger).

Je lui fourni et elle en profite que je n’ai encore jamais fait de demande de résiliation pour mon contrat, puis me fait patienter. Après quelques minutes d’attente elle me certifie que la résiliation s’est bien passée.

Conclusion

Avec ce genre de méthode, un grand groupe comme Orange peut s’assurer quelques jours de facturation de plus par résiliant. En terme de retombée financière, par exemple, pour une offre fibre à plus de 40€ par mois, 4 jours de plus, c’est 5 euros facturés en plus par rapport à une résiliation qui marcherait du premier coup.

Le calvaire de la résiliation se ressent dans ces 3 éléments

  • l’ergonomie
  • la description et le suivi de la procédure
  • ainsi que par inexistence de l’aide par pré-remplisage

Ces manques montrent un grand manque d’attention porté à ceux qui souhaitent résilier, quel qu’en soit le motif. En tant que consommateur ce n’est pas ce genre de processus qui donnent envie de se réabonner de si tôt, même si pour le reste le service est relativement bon.

Le dernier point sur lequel il pourrait y avoir une amélioration c’est le passage par une conseillère, qui n’est là que pour recliquer elle même sur un bouton pour valider ma résiliation et m’expliquer en trois phrases comment je vais rendre mes boites et mes câbles le tout en une dizaine de minute.

Après tout et pour ma consolation, les 5 euros que je paierais en plus avec mes 4 jours d’attentes en vain serviront surement à payer cette conseillère qui passe ses journées à cliquer et répéter les mêmes phrases jours après jours à chaque client.

De l’idée à la réalisation d’un jeu de société

Que vous soyez parents ou enfants, jeune ou vieux si vous avez la fibre créatrice cette article est fait pour vous.

Il y a quelques jours j’ai fini le montage d’une vidéo. J’ai réalisé cette vidéo dans le but de partager ma passion pour la création. Je me suis fixé comme objectif de réaliser un jeu de société papier en utilisant le logiciel de dessin vectoriel Inkscape. Je ne sais pas si l’on peut appeler cette vidéo un tutoriel puisque je ne détail pas toutes les actions à réaliser. Je vous laisse juger par vous même.

La capture et l’édition de la vidéo m’a pris environ 5 heures. J’estime que le jeu que je présente dans la vidéo peut être réalisé en 2 ou 3 heures par un débutant. Ça peut être un bon moyen de passer du temps avec des enfants et faire une activité enrichissante tant pour eux que pour vous.

Créer son propre jeu de société, même si il est créé par ordinateur vous permettra

  • de découvrir le dessin vectoriel
  • d’avoir une activité artistique
  • de développer l’imagination
  • d’apprendre les réglages d’impression
  • de travailler manuellement la découpe et l’assemblage des pièces.

Je vous offre aussi la possibilité de passer directement à la découpe des pièces puis au jeu en vous donnant gratuitement et librement les images du jeu ou encore le fichier vectoriel pour ceux qui aimeraient le modifier

N’hésitez pas à vous abonner à la chaine Youtube et à y laisser un commentaire ou un pouce voir même une photo de votre propre jeu.

Hack – Police d’écriture

Article pas bien long pour présenter en quelques mots une police d’écriture bien pratique et agréable à lire, à savoir la police Hack.

J’utilise cette police au quotidien, en particulier dans mon IDE principal. L’un des atouts de cette police est de permettre de faire aisément la différence entre des caractères comme le i, le l, le I et le L, ce qui n’est pas toujours simple dans certains cas. Idem pour des caractères comme o, O et 0. L’image ci-dessous vous donne un aperçu de sa typographie.

Bonne découverte.