Note pour l’ajout d’un groupe à un utilisateur, ou plutôt, l’ajout d’un utilisateur à un groupe.
usermod -aG groupe utilisateur
Ou encore :
gpasswd -a utilisateur groupe
Pensées Libres dans un Monde Binaire
Articles traitant d’informatique, du sujet général au plus particulier.
Note pour l’ajout d’un groupe à un utilisateur, ou plutôt, l’ajout d’un utilisateur à un groupe.
usermod -aG groupe utilisateur
Ou encore :
gpasswd -a utilisateur groupe
Ayant fait l’acquisition d’un Pi 4 durant l’été, en vue de migrer mon cloud privé vers la dernière génération de Pi et de disposer d’un peu plus de RAM, je me suis donc intéressé à la manière de faire démarrer le Pi depuis un système stocké sur un disque SSD et non plus simplement sur une carte microSD. Disponible d’abord en version bêta, cette fonctionnalité est désormais accessible par défaut, au prix toutefois de quelques opérations de configuration, en fonction du moment où vous aurez fait l’acquisition du Pi.
De mon côté, la première étape a été la vérification de la version du contenu de la mémoire EEPROM du Pi et sa mise à jour. Pour cela préparation d’une carte microSD avec activation de ssh et configuration du Wifi automatiquement au démarrage. Après que le Pi soit apparu dans la liste des clients connectés à mon LAN, et ayant obtenu ainsi son IP, je m’y connecte donc en ssh. Une fois connecté, je lance une mise à jour du système, puis vérifie le contenu de la mémoire EEPROM, et déclenche sa mise à jour, celle-ci étant trop ancienne pour permettre le mécanisme de boot depuis un disque externe.
sudo apt-get install aptitude sudo aptitude update sudo aptitude upgrade sudo rpi-eeprom-update sudo rpi-eeprom-update -a sudo reboot
Voici ci-dessous, ce que j’obtiens après mise à jour. De mémoire, pour bénéficier du boot externe, la valeur de CURRENT, doit à la date où j’écris, valoir 000138a1. En supposant que ceci correspond bien à un numéro de version, une version supérieure devrait faire l’affaire. Nous pouvons également considérer, qu’une date antérieure à celle de la version du 3 septembre 2020, ou plus généralement, une différence entre CURRENT et LATEST, sont des indications suffisantes de procéder à la mise à jour.
BCM2711 detected
VL805 firmware in bootloader EEPROM
BOOTLOADER: up-to-date
CURRENT: Thu 3 Sep 12:11:43 UTC 2020 (1599135103)
LATEST: Thu 3 Sep 12:11:43 UTC 2020 (1599135103)
FW DIR: /lib/firmware/raspberrypi/bootloader/critical
VL805: up-to-date
CURRENT: 000138a1
LATEST: 000138a1
Une fois cela fait, j’ai donc installé la version lite du Raspberry Pi OS (nouveau nom de raspbian si j’ai bien suivi). À noter que n’ayant pas réussi à réaliser l’installation avec l’installeur officiel, ni avec Etcher, je suis revenu à la bonne vieille méthode manuelle en utilisant dd. Une fois mon disque prêt, je le connecte au Pi, branche le Pi et attends de le voir se connecter au Wifi. Ce qu’il ne fera jamais. Après quelques recherches, je découvre qu’il est également nécessaire d’effectuer une modification de configuration pour changer l’ordre de boot. Retour donc de la carte microSD pour effectuer cette opération avec la commande suivante :
sudo -E rpi-eeprom-config --edit
Il faudra alors remplacer la ligne :
BOOT_ORDER=0x1
Par la valeur suivante pour la variable BOOT_ORDER.
BOOT_ORDER=0xf41
Il ne reste plus qu’à redémarrer, retirer la carte microSD, connecter le disque au Pi et le rebrancher. Après quelques minutes d’attente, le Pi apparaît sur mon LAN et quelques instants plus tard, je parviens à m’y connecter en ssh.
Tout est prêt pour la migration !
On prend la même structure que pour la note sur la configuration du Wifi, et on recommence.
Une nouvelle fois, rien de nouveau pour la plupart d’entre nous, mais un moyen pour moi de retrouver facilement la syntaxe de la configuration à utiliser et le lien vers la documentation sur le site officiel.
Pour que le Pi au moment du premier démarrage, active automatiquement un accès SSH, et ne pas avoir à connecter clavier et écran, il suffit donc de créer dans le dossier boot de la carte SD, le fichier ssh. Le contenu du fichier n’a pas d’importance.
Profitons-en pour noter que l’utilisateur par défaut est l’utilisateur pi avec le mot de passe par défaut raspberry. Bien évident, à changer immédiatement lorsque l’on commence à faire autre chose que des tests et du prototypage ou encore que l’on expose le Pi en dehors du LAN.
Rien de nouveau pour la plupart d’entre nous, mais un moyen pour moi de retrouver facilement la syntaxe de la configuration à utiliser et le lien vers la documentation sur le site officiel.
Pour que le Pi au moment du premier démarrage, se connecte automatiquement au réseau, et ne pas avoir à connecter clavier et écran, il suffit donc de créer dans le dossier boot de la carte SD, le fichier wpa_supplicant.conf.
ctrl_interface=DIR=/var/run/wpa_supplicant GROUP=netdev
update_config=1
country=fr
network= {
ssid="Nom du Wifi"
psk="Mot de passe du Wifi"
}
Depuis quelques jours, la quantité de spam du côté du formulaire de commentaire a explosé en quantité. On passe d’une centaine par semaine à une centaine par jour. Tout finit naturellement dans la file des indésirables, mais cela reste ennuyeux.
Voici donc les heureux gagnants d’un ban IP sans limitation de durée:
5.188.84.15 5.188.84.25 5.188.84.35 5.188.84.45 5.188.84.65 5.188.84.95 5.188.84.115 5.188.84.147 5.188.84.220 5.188.84.221 5.188.84.233
Le spam n’est pas suffisamment régulier pour définir des règles strictes de filtrage dans fail2ban. Une petite recherche sur le net semble indiquer que les IPs sont bien identifiées comme responsable de spam et font donc partie de listes de blocage. Il pourrait donc être intéressant de s’interroger sur la possibilité de connecter un blocage par iptables, ou autre, sur une liste dynamique des IPs des spammeurs connus. Quels seraient alors les impacts sur les performances, vu la taille de certaines de ces listes ?