Citations [2] – Michael Ende

« La passion de Bastien Balthazar Bux, c’était les livres. Qui n’a jamais passé tout un après-midi sur un livre, les oreilles en feux et les cheveux en bataille, à lire et lire encore, oublieux du monde alentour, insensible à la faim et au froid –

Qui n’a jamais lu en cachette, sous sa couverture, à la lueur d’une lampe de poche, parce qu’un père ou une mère ou quelque personne bien intentionnée avait éteint la lumière, dans l’idée louable que le moment était maintenant venu de dormir puisque demain il faudrait se lever tôt. –

Qui n’a jamais versé, ouvertement ou en secret, des larmes amères en voyant se terminer une merveilleuse histoire et en sachant qu’il allait falloir prendre congé des êtres avec lesquels on avait partagé tant d’aventures, que l’on aimait et admirait, pour qui l’on avait tremblé et espéré, et sans la compagnie desquels la vie allait paraître vide et dénuée de sens –

Celui qui n’a pas fait lui-même l’expérience de tout cela ne comprendra visiblement pas le geste de Bastien. »

L’Histoire sans fin, Michael Ende

Citations [1]

La vie est un chemin qui se parcourt dans un seul sens. La reprendre à zéro est impossible. On peut choisir sa destination, réfléchir quand on arrive à une intersection, ralentir, accélérer, décider de ne plus refaire les mêmes erreurs, on ne revient jamais en arrière.

Les Âmes croisées, Pierre Bottero


Ce sont d’abord les yeux, Bohem. Toujours. Le reste vient plus tard.

Les Voix des Brumes, Henri Loevenbruck


This community is misunderstood by the media… and unfortunately, the media is the message out to the non geek, non hacker community.

DEFCON Documentary


Une chose que j’ai apprise dans ma vie est qu’il ne faudrait jamais regretter l’amour. À de nombreux points de vue, c’est lui qui nous définit. Pour ça, j’ai eu de la chance. J’ai été aimé, et j’ai aimé. Finalement, c’est la seule chose qui compte. Les rêves des hommes tombent toujours en poussière.

Les Epées de la Nuit et du Jour, David Gemmel


Le plus grand changement aurait lieu quand tous les hommes refuseraient de prendre l’épée, quand la guerre ne serait plus considérée comme glorieuse, mais comme obscène.

Les Epées de la Nuit et du Jour, David Gemmel