Cmd #6 [Git]

Quelques commandes Git bien utiles.

 

git log -p

Permet de voir le diff introduit par chaque commit.

 

git log --name-status

Voir la liste des fichiers affectés par chaque commit avec le type de modification: ajout, modification, suppression.

 

git log --stat

Donne des infos concernant les fichiers modifiés (ex: …/src/test/resources/log4j.properties | 3 +-).

 

git stash save

Sauvegarde les modifications locales et remet le dépôt dans l’état correspondant à votre HEAD.

 

git stash pop

Applique les modifications précédemment sauvegardées.

 

Source:

Libération du téléphone

Depuis quelques mois maintenant, j’ai quitté l’OS Android du constructeur de mon téléphone portable pour migrer vers Cyanogen. J’appréhendais un peu l’opération bien que celle-ci soit bien documentée et que ce ne soit pas la première fois que j’effectuais une migration. Lorsqu’on touche au système du téléphone, le risque zéro n’existe pas… Après relecture de la procédure, je me suis donc lancé.

En premier lieu, il convient de débloquer le bootloader. Cette étape est transparente pour peu que le téléphone ne soit pas un téléphone opérateur; ce qui est mon cas. On demande un code au constructeur et on l’utilise pour débloquer le bootloader. C’est aussi simple que cela. Pour leur part, les téléphones opérateurs sont généralement munis d’une surcouche avec des applications inutiles et impossibles à désinstaller, auquel s’ajoute un blocage fort du bootloader et des droits root. « Malheureux, ce téléphone ne t’appartient pas, nous seuls savons ce qui est bon pour toi (et ne t’avise surtout pas d’utiliser ce téléphone chez un concurrent) ».

Je commence ensuite l’installation de Cyanogen à proprement parler. Rien de bien compliqué, la documentation est complète et bien faite. Tout se passe bien, jusqu’à ce que je tente la sauvegarde du système existant. Zut, la partition est chiffrée ! J’avais oublié ce point. Je continue donc la procédure d’installation sans faire de copie de l’existant. Au passage, j’en profite pour installer immédiatement freecygn et me débarrasser le plus possible de Google. L’installation se termine. Je croise les doigts et redémarre. L’écran s’allume, le logo Cyanogen apparaît. C’est bon ça fonctionne, je peux passer à la personnalisation du système.

Avec cette nouvelle installation, je suis donc privé de PlayStore. Cela ne me pose pas de problème, puisque j’utilise F-Droid comme alternative et que 90% des applications que j’utilise en proviennent. Pour éventuellement installer une application disponible uniquement sur le PlayStore de Google, j’ai découvert le très utile GooglePlayDownloader de Tuxicoman et plus récemment, son adaptation disponible via http. Très pratique pour récupérer une application sans avoir à installer le logiciel ou lorsqu’on ne dispose pas d’un ordinateur à proximité.

Mon téléphone est désormais un peu plus libre qu’avant, avec moins de contact avec Google. Une autre possibilité serait de construire soi-même son système Android en partant des sources de l’AOSP. Cette perspective ne me semble pas insurmontable, néanmoins, je n’ai pas spécialement l’intention de réaliser les tests de fonctionnement sur le téléphone que j’utilise quotidiennement au risque de devoir tout réinstaller ou de le rendre inutilisable. Je n’envisage pas non plus de faire l’acquisition d’un deuxième téléphone juste pour les tests (du moins pour le moment). Du reste, j’ai découvert le Jolla phone de l’entreprise finlandaise Jolla (à l’avenir incertain puisque actuellement en difficulté financière) qui m’a l’air d’être une alternative intéressante aux Android de Google, notamment avec son SailfishOS basé sur un cœur Linux et du Qt. Je n’envisage néanmoins pas de changer de téléphone à moyen terme quand mon téléphone actuel fonctionne très bien.

Modifications de l’infrastructure de services

Qu’est-ce qui se cache derrière ce titre pas forcément pertinent ? Un point sur l’évolution des composants logiciels que j’utilise pour me passer des GAFAM (Google Apple FaceBook Amazon Microsoft). Quelques changements ont en effet eu lieu depuis mon précédent article.

Au revoir Owncloud… J’ai pris la décision d’abandonner Owncloud lors de la mise à jour vers la version 8.1.0. En quelques mots, à chaque mise à jour du logiciel, je me retrouvais à devoir réactiver plusieurs modules, supprimer des fichiers sur le disque ou finir une mise à jour via la ligne de commande. La dernière maj a mis en lumière des problèmes dans la gestion des clefs de chiffrements des fichiers, résultats: une majorité des fichiers est illisible. N’ayant pas de document à récupérer absolument, je ne me suis pas attardé sur les éventuelles procédures de récupération après un premier essai infructueux. Ce dernier problème achève donc de me convaincre d’aller regarder les autres solutions disponibles en matière de gestion de fichiers en ligne.

Je me tourne finalement vers Seafile. L’installation est bien documentée et ne pose pas de problème particulier. Dans les points positifs, je note la présence d’un client Android et d’une version serveur pour Raspberry Pi. Les fonctionnalités et l’interface de la version « Community » peuvent sembler austère, mais les éléments principals d’une telle solution sont présents et fonctionnent bien. A noter qu’il est possible de demander un passage en version pro gratuit si on se limite à 3 utilisateurs; à réfléchir. Seafile supporte également le chiffrement des fichiers, mais celui-ci s’effectue via le client; c’est un point que je dois encore tester.

Le passage de Owncloud à Seafile pour la gestion des fichiers a également posé la question du remplacement des autres modules Owncloud liés à la gestion des contacts, calendriers, flux rss et favoris. Pour moi, le rôle principal d’Owncloud réside dans la gestion de fichiers en ligne, les autres modules permettant d’enrichir la plateforme et de lui ajouter des fonctionnalités annexes. Je suis donc parti à la recherche de logiciels spécifiques permettant chacun de répondre aux besoins identifiés. Finalement, j’obtiens le découpage suivant:

  • Seafile: Pour la gestion et le partage de fichiers.
  • Selfoss: Pour la gestion des flux rss. Dispose d’une application Android dédiée.
  • Baïkal: Pour la gestion des contacts et du calendrier. (Interface web en construction dans la v2)
  • Shaarli: Pour sauvegarder simplement des urls depuis n’importe quel support.

Voilà pour la nouvelle forme de mon nuage de service. L’étape suivante concerne l’auto-hébergement progressif d’une partie des services, amenant avec elle son lot de défis.

[Classic ASP] Improving split function

Coming from the JavaScript world, I’m used to split function working as follow :

"".split(",")
> Array [ "" ]

It’s basic JavaScript. Take an empty string, try to split it on a delimiter, it will return an array containing just one element : an empty string. It’s exactly what you expect from the function, always return an array. Like it should be in every programming language.

A few weeks ago, I had to deal with split function in ASP Classic. Calling the function is a bit different, but that’s not a big deal :

split("foo,bar", ",")

The function works fine in almost every cases. But it has an unexpected behaviour when you use it on an empty string. Let’s try it :

Dim array
array = split("", ",")
'-- Expect array to contain one element
UBound(array) '-- Returns -1. Wait! What?
array(0)      '-- Guess what: Internal server error

That’s a problem. The split function does not return an array containing an empty string when you try to split an empty string, it just returns an array with nothing in it – hence UBound returning -1.

When you are aware of this particularity, it’s easier to write your code. Since I personally prefer a JavaScript-like split function, I decided to write a betterSplit function doing the job as I wanted :

'-- Improve Split to work as expected
Function betterSplit(str, delimiter)
  Dim ar
  ar = Split(str, delimiter)

  '-- UBound
  '-- < 0 if empty string
  '-- = 0 if no delimiter in string
  If UBound(ar) <= 0 Then
    ReDim ar(0)
    ar(0) = str
  End If

  betterSplit = ar
End Function

As a matter of fact, I find this function much better than the original split function as it always returns an array even when using an empty string as a parameter.

Performance entre compute et move

 WORKING-STORAGE SECTION.
 01 WORKING-VAR.
    05 W-TAU-3-6         PIC S9(3)V9(6) COMP-3.
    05  W-TAU-2-5        PIC S9(2)V9(5).
    05 W-CPT             PIC 9(09).

 PROCEDURE DIVISION.
    move 123,123456       to W-TAU-3-6
    move 12,12345         to W-TAU-2-5

    perform until W-CPT = 999999999
*      compute W-TAU-3-6 = W-TAU-2-5
       move W-TAU-2-5     to W-TAU-3-6
       add 1              to W-CPT
    end-perform

Aujourd’hui, j’ai voulu savoir ce qui est le mieux à utiliser entre un compute et un move pour renseigner un champ. J’ai donc exécuter le petit bout de code si dessus.
Résultats :

Temps d’exécution Temps CPU
Move 45.49 1,814
35.9 1,81
1.05.83 1,818
Compute 49.44 2,429
38.66 2,421
1.16.26 2,441

Après 3 exécutions de chaque on distingue bien que le compute mange beaucoup plus de CPU que le move pour le même résultat (Ici environ 1/4 de plus). Conclusion, utiliser les compute seulement en cas de calcul et non pour renseigner une variable.

Mise à jour après un second test qui met sur un pied d’égalité le compute et le move (2.500 Temps CPU pour les deux) :

compute W-TAU-2-5 = W-TAU-3-6
move W-TAU-3-6 to W-TAU-2-5

Dans le cas où l’on met une zone plus grande dans une zone plus petite le compute et le move on les mêmes performances, avec une petite préférence personnelle pour le compute qui évite quelques Warning dans ce cas bien précis.